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Jardinage permaculture : Rotation et association des cultures au potager
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La diversité des plantations, ou polyculture, est au cœur des préceptes d’un jardin en permaculture. Une diversité qui permet de recourir à des associations de plantes judicieuses visant à limiter, voire à éviter totalement la propagation de maladies et de ravageurs. Les rotations ont un but commun, visant cette fois à changer chaque année de place les plantes vulnérables. Rotations et associations des cultures offrent une gestion intelligente et réfléchie du potager pour assurer sa santé et sa productive sans aucun pesticide et autre produit chimique !
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Jardinage permaculture : l’association des cultures au potager permacole
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L’association des cultures consiste à associer différentes plantes sur un même emplacement afin qu’elles se servent l’une à l’autre. On cherche ici les interactions favorables entre ces plantes.
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Exemples :
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• les légumineuses enrichissent le sol en azote, ce qui est utile aux tomates qui en ont beaucoup besoin.
• La carotte a cette faculté à faire fuir les vers du poireau.
• Le choix fait de l’ombre à la mâche qui favorise les situations ombragées.
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De manière globale, les Apiacées (carottes, panais, céleris…) s’associent bien aux Brassicacées (choux, navets, radis…) et aux Fabacées (haricots, pois, fèves, lentilles…).
En revanche, on évite bien évidemment d’installer deux plantes incompatibles l’une à côté de l’autre.
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Exemples :
• L’ail a horreur des haricots.
• La carotte ne supporte pas la betterave.
• La laitue se passe volontiers du cresson.
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En général, les Alliacées (oignon, ail, échalote, asperge, poireau…) ne doivent pas être associés aux Solanacées (aubergine, piment, poivron, tomate, pomme de terre…) et aux Fabacées (haricot, pois, fève, lentille…).
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La rotation des cultures
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La rotation des cultures a sensiblement le même but que l’association des cultures. Le principe est assez simple, puisqu’il s’agit de changer de place les plantes cultivées d’une année à l’autre.
Exemple :
• sur la parcelle où ont été cultivées des plantes sensibles à une maladie donnée, on installera l’année suivante des végétaux qui ne lui sont pas sensibles.
• sur une zone où ont poussé des plantes qui produisent de l’azote, on installera l’année suivante des plantations qui en consomment.
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Un exemple concret d’association et de rotation des cultures
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Le tableau ci-dessous vous propose quatre exemples d’associations réparties sur un potager divisé en quatre zones.
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L’année qui suit, les zones sont décalées de manière à ce que les sols puissent se régénérer (toutes les plantations ne puisent pas de la même façon les ressources de la terre.) Par la même occasion, cette rotation permet de limiter la propagation des maladies et des parasites. Ainsi, le potager se répartit à présent comme suit :
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De cette façon, la parcelle A n’accueillera plus de courges avant trois années de plantation. Les fabacées (haricots, fèves, poids, lentilles…) font leur retour sur la parcelle tous les deux ans pour enrichir le sol en azote. Les pommes de terre peuvent succéder aux autres solanacées sans problème.
Astuce : certaines zones seront nues durant l’hiver. Profitez-en pour y épandre votre compost ou y semer un engrais vert.
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Conclusion
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La polyculture et l’association des cultures sont généralement suffisantes à un potager permacole et familial. En ajoutant la rotation des cultures, on s’assure en revanche d’un système productif ET rentable.
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Commencez votre potager avec permabox !
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